Lucky dans le whisky

Ah, voilà encore un titre bien débile. Mais bon, si ça peut attirer l’œil, pourquoi pas ! Retour en images sur la construction de Lucky, notre robot numéro 16 (va falloir que j’achète un boulier pour tenir les comptes). Pour ce modèle j’ai misé sur 3 éléments à fort caractère : les bras, d’anciens supports de pales de ventilateur de plafond ; les pieds, 2 supports de spots type plafonnier ; et enfin la tête, la moitié d’une boule à cuire le riz fraichement dénichée dans une broc (je garde l’autre moitié pour autre chose, hé hé hé). Une fois le très long mais nécessaire et habituel processus de sélection des candidats dans mon fatras organisé à croissance exponentielle, j’effectue des tracés et repérages en vue de transpercer allègrement toute cette ferraille, en bonne et due forme. Il s’agira ensuite de tout assembler comme un puzzle pas trop compliqué mais des fois un peu quand même… J’ai compté, il y a à peu près 100 pièces ! La partie mécanique étant achevée, je me débrouille pour faire passer les câbles électriques de manière discrète et sécurisée. Evidemment, j’ai l’air un peu désinvolte comme ça, mais rien n’est laissé au hasard et le système est pensé dès le départ. Notamment pour que tout ceci soit montable, démontable et réparable. J’essaie de me mettre à la place de mon client qui, peut-être, aura un jour besoin de changer une ampoule sans pour autant passer un CAP de serrurier-bricologue. La base quoi ! Après un bon paquet d’heures de travail, je finalise avec ce petit pin’s « Lucky services » la petite touche rigolote (la cerise sur le gâteau) qui donne son nom à ce grand échalas métallique. Un petit clic-clac (pour de faux) avec un vieil appareil Brownie et direction la boutique pour la séance photo top model !

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