Voici les coulisses de fabrication du plus frenchy de nos verres-voitures ! Avec cette iconique 4L déclinée dans des coloris très sympa. Pour ce modèle, rien de nouveau sous le soleil : les étapes sont maintenant bien établies. Découpe du pied du verre (ici le collector Piscine de chez Pastas 51 avec ses couleurs estivales). Perçage de la carrosserie. Collage final. La routine quoi ! Oui mais voilà, on n’est jamais à l’abri d’une découverte qui bouleverse nos plans. Vé, coquin de sort ! Donc, quel est le problème ? Hein, dis, peuchère ! Il se situe sous la capote en plastique (esprits mal tournés, passez votre chemin). Je découvre, en ouvrant la bête, que ladite capote repose sur des renforts métalliques de la carrosserie. Voilà qui va bien compliquer le perçage ! Comme d’habitude, je ne lâche rien et je fais avec les contraintes qui se présentent : je m’applique à traverser ce toit récalcitrant avec un forêt à métaux qui, en chauffant, a la fâcheuse tendance à faire fondre le plastique. M’enfin, mais laissez-moi tranquille ! Le processus devient nettement plus fastidieux mais je parviens à ménager une ouverture ronde à grand renfort de meulages successifs (je vais tout prochainement ériger un temple à la gloire de Dremel !). L’écueil enfin contourné et la méthode stabilisée, je peux poursuivre sans encombres les autres étapes et décliner mon prototype sur les 7 autres voitures en attente. Ouf ! Plus de peur que de mal.
